Des constructions innovantes qui contribuent à réduire l’empreinte carbone.

Le secteur de la construction présente une importante empreinte carbone, mais des systèmes de construction novateurs contribuent à la réduire, avec un matériau pourtant millénaire : le bois. Stora Enso, l’un des plus grands producteurs de bois au monde et le plus avant-gardiste de tous, veut transformer l’état d’esprit du secteur grâce à Sylva™. Cette solution permet d’accélérer la construction, de réduire les coûts, d’utiliser plus efficacement les matières premières et de produire moins d’émissions qu’avec du béton ou de l’acier. Elle est l’une des réponses au défi le plus complexe sur le marché aujourd’hui : réduire la part astronomique d’émissions de CO₂ dont le secteur est responsable, qui s’élève à ce jour à 39 % Et l’un des chantiers au cœur de ce défi est celui de la construction et de la rénovation des établissements scolaires en Europe, qui peut demain se faire en bois. Kit en bois

La France compte 60 000* écoles, dont un certain nombre sont rénovées ou devront l’être, sans compter celles qui doivent être entièrement reconstruites. Il sera également nécessaire d’en créer de nouvelles. C’est dans
cette optique que le gouvernement a lancé un plan de relance en juin dernier qui prévoit 950 millions d’euros pour la rénovation des bâtiments publics des collectivités territoriales, dont une grande partie sont des écoles.
Les établissements qui utilisent le bois et la solution Sylva remplissent tous les critères : des délais de construction plus courts, davantage de bien-être chez les élèves, des matériaux renouvelables à faibles émissions de carbone et des solutions de construction de qualité. Ce type de chantier limite également les problèmes de pénurie de main-d’oeuvre et les accidents de travail.

La démarche de Stora Enso n’aura jamais été aussi utile . La construction en bois offre de nombreux avantages, d’autant plus dans les écoles, qui sont conçues pour accueillir les prochaines générations. Et si nous envisagions tous, y compris les élus et les décideurs, d’utiliser du bois pour créer de nouvelles écoles ? Quels effets cela aurait-il sur les objectifs cruciaux de durabilité environnementale, et sur le bien-être des élèves ? », explique Lars Völkel, vice-président exécutif de la division Wood Products de Stora Enso. Dans la plupart des pays européens, la rénovation et la construction d’écoles sont indispensables pour s’adapter à la croissance de la population. De nombreuses infrastructures ont une consommation excessive en chauffage, en eau et en électricité, du fait de matériaux et d’équipements obsolètes. Face à la crise énergétique en Europe, il n’y a jamais eu autant besoin de structures à faible consommation d’énergie.

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Les établissements en bois ont un coût comparable à ceux réalisés en acier et en béton, mais ils permettent de réduire les coûts d’exploitation. Une structure bois génère jusqu’à 70% en moins d’émissions de CO² qu’une structure comparable en béton. (Source : Combient Pure – Calculs comparatifs de construction bas carbone pour immeuble de logements multi-étage). À l’échelle mondiale, les projets de construction représentent la création d’un nouveau Paris chaque semaine. Or, chaque mètre cube de bois utilisé dans des bâtiments permet d’éliminer une tonne d’émissions (Source Université de Hambourg) dans l’atmosphère, ce qui peut faire la différence lorsque des milliers de nouvelles structures entrent en jeu. Rien qu’en Europe, les écoles représentent 17 % des bâtiments hors logements, pour une surface totale de 1 600 millions de m². Parmi les structures françaises, 280 millions de m² appartiennent aux autorités locales et régionales*. La moitié d’entre elles sont des écoles, des collèges ou des lycées. La consommation d’énergie de ces autorités locales provient à 76 % de leurs édifices, dont 30 % sont générés par les écoles qui restent le type de construction le plus gourmand en énergie*.

D’après la Commission européenne, le secteur du bâtiment présente le plus grand potentiel en matière d’économies d’énergie. Afin de limiter son impact environnemental, il est urgent que ce secteur réduise ses émissions de CO₂, liées à sa consommation et à ses processus de fabrication, et qui s’élèvent aujourd’hui à près de 40 % du total des émissions.
Le bois est l’un des principaux matériaux de construction renouvelables, et chaque année dans les forêts à gestion durable de Stora Enso, des milliers d’arbres sont replantés et continuent à grandir. Les arbres absorbent le carbone et le stockent tout au long de la durée de vie d’un bâtiment, ce qui améliore l’empreinte carbone sur l’ensemble de la chaîne de valeur, et jusqu’à la fin de sa vie.
Par exemple, le campus Arboretum en cours de construction à Nanterre stocke 15 000 tonnes de CO2. À la fin du cycle de vie des bâtiments, le bois pourra facilement être démonté, réutilisé, recyclé ou utilisé pour produire de
l’énergie. « Nous facilitons autant que possible la planification, la conception et la construction de bâtiments en bois massif parce que les projets durables devraient être à la portée de tous », déclare Sebastian Hernandez, responsable R&D de la division Concepts de Construction chez Stora Enso.

En plus de ses atouts économiques et environnementaux et de son efficacité de construction, le bois procure des bienfaits importants sur la santé. Il a été prouvé que la présence d’éléments naturels dans un bâtiment améliore l’apprentissage, la mémoire ainsi que l’intelligence émotionnelle et sociale. Sachant que les élèves et les professeurs passent 90 % de leur temps à l’intérieur, même de petits aménagements peuvent contribuer à long terme au développement des enfants. Ils bénéficient également d’une meilleure qualité de l’air, d’une réduction du stress, d’une plus grande concentration et de meilleurs résultats aux examens.

Grâce à Sylva, la durée d’un chantier diminue d’au moins 30 %. La préfabrication « hors-site » permet également d’accroître la sécurité des sites de construction, car une très grande part du travail est réalisée en usine, où la
température et la qualité de l’air sont rigoureusement contrôlées. Par ailleurs, le bois étant cinq fois plus léger que le béton, le nombre de livraisons est plus faible, ce qui réduit le coût du transport et les émissions.

* Source : Ministère de l’Éducation nationale

• Sylva propose des kits en bois durables qui comprennent des éléments de construction fabriqués sur mesure, avec lesquels on peut créer une structure moderne, qu’il s’agisse d’une école, de bureaux ou d’un immeuble résidentiel jusqu’à 16 étages.
• Sylva contient des applications préfabriquées sur mesure : des murs, des planchers, des toitures, des escaliers, des poutres et des colonnes qui optimisent l’utilisation du bois massif afin de s’adapter aux bâtiments
de tous types et de toutes dimensions.
• Chaque mètre cube de bois qui remplace l’acier et le béton élimine jusqu’à 1,5 tonne d’émissions en moyenne. Une école en bois telle que celle imaginée par Stora Enso stocke 50 tonnes de carbone sur l’ensemble
de son cycle de vie, ce qui élimine 190 tonnes de CO₂ de l’atmosphère pour le stocker dans le bâtiment tant qu’il existe.
• Sylva accélère la construction d’au moins 30 % et permet une utilisation plus efficace des matières premières.
• Les kits Sylva satisfont à toutes les normes de sécurité incendie et à toutes les dispositions du code du bâtiment.

A propos de Stora Enso:

Acteur de la bioéconomie mondiale, Stora Enso est l’un des principaux fournisseurs de produits renouvelables dans les domaines de l’emballage, des biomatériaux, de la construction en bois et du papier, et l’un des plus grands
propriétaires forestiers privés au monde. Nous sommes convaincus que tout ce qui est réalisé à partir de matériaux fossiles aujourd’hui pourra l’être à partir d’un arbre demain. Stora Enso emploie environ 22 000 personnes et nos ventes en 2021 s’élevaient à 10,2 milliards d’euros. Les actions de Stora Enso sont cotées auprès de Nasdaq Helsinki Oy (STEAV, STERV) et Nasdaq Stockholm AB (STE A, STE R). Elles sont en outre négociées aux États-Unis
sous forme d’ADR (SEOAY).

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